Photo de Alvaro Garcia, Journal "El Pais"

"Dies süsse Wörtlein: und..."


Isolde chante au deuxième acte : "pourtant notre amour n'a-t-il pas nom Tristan - ET - Isolde? Ce petit mot tendre: "et", ce qu'il lie, ce lien d'amour..." . C'est interessant de percevoir qu'est l'unique oeuvre wagnérienne que nous transmetre une notion de couple, de dualité, de complementation. C'est avec Tristan et Isolde qu'on trouve la confrotation de masculin et feminin, confrontation qu'arriverai a une fusion, encore plus que la propre complementation. On commence avec l'opposition de Tristan et Isolde, la voyage où Tristan emmene Isolde a son oncle, une opposition par les convencionalismes, mais que devient dejà d'une première relation de "fusion", se on peut ainsi dire, qu'à eu déjà lieu quand Isolde a gueri la blessure de "Tantris". Mais, comme des vrais "opposés complementaires" cette relation de feminin et masculin, ses "éléments" que sont sorti par principe de une même unité, a besoin de "s'améliorer" pour pouvoir vraiment se fondre à nouveau, en unité. Et celà a besoin de quelques éléments: AMOUR, TRANSMUTATION, SACRIFICE. Voilà des éléments que vont se dévelloper pendant toute l'oeuvre.
Richard Wagner a écrit à Mathilde Wensendonk (03/03/1860) en disant que le quatre premières notes de l'hautbois sont comme le "souffle créateur divin" que se renverse dans l'Univers pour donner l'origine à la matière, ça veut dire que la force de l'amour que se renverse dans l'être humain est la force que lui donne le pouvoir pour créer.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire